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 Anya O. D. - I was his perfection.

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Anya O. Danistrov
Anya O. Danistrov
Messages : 59
Date d'inscription : 07/07/2015
Anya O. D. - I was his perfection. Empty
MessageSujet: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyMar 7 Juil - 20:53


Anya Odile Danistrov
"I trusted you. You ruined everything."
 

Bonjour ou bonsoir, mes p'tits lapins sucrés. Mon nom à moi, c'est Anya Odile Danistrov ! Je suis née le 5 décembre dans un des royaumes du Pays Enchanté. Je suis une jeune canarde de 23 ans, classe non ? Un petit secret pour la route ; je suis hétérosexuelle et présentement célibataire volage. On me dit souvent que je ressemble à Natalie Portman, en plus sexy. Parlant de sexyness, je fais partie du groupe Enchanted, et nous y sommes tous très sexys.


physique
Anya est de petite taille, elle a la silhouette fine et bien dessinée. Elle reste malgré tout musclée, s'entraînant continuellement et pratiquant la danse quotidiennement elle est d'une grande souplesse et grâce. Elle a le visage d'une poupée de porcelaine, la peau pâle en parfait contraster avec son regard sombre et glacial tout comme sa chevelure ébène qu'elle laisse souvent retomber sur ses épaules.
Odile a toujours privilégié les vêtements sombres. Au Pays Enchanté elle portait très souvent de longues plumes noires de cygne sur ses robes et vêtements. Désormais à Storybrooke, elle porte, autour de son cou, un collier de cuir avec en pendentif un écrin comportant deux images et doté de deux plumes de cygne, l'une noire, l'autre blanche.
Son style vestimentaire privilégie les couleurs sombres, elle a une certaine classe et appuiera son regard à l'aide de maquillage. Il lui arrivera que très rarement de porter des couleurs claires ou vives.
Elle a des cicatrices, résultant des maltraitances qu'elle a subit enfant de la main de Balthazar ou encore quand la colère emportait le mage. Elles ne la répugnent pas, elle ne les cache pas.
caractère
Heureusement qu'Anya n'est pas narratrice de son histoire. Elle n'aime pas parler d'elle. Vous pouvez donc vous estimer chanceux de m'avoir pour vous la décrire. J'essaierais d'entrer au mieux dans les détails, mais sachez que vous découvrirez bien plus en apprenant à connaître le spécimen...

Anya a toujours été une personne très sombre. Que ce soit du temps où elle était appelée Odile, le cygne noir, ou encore sous le prénom d'Anya, sa noirceur n'a jamais vacillé, ni même pâli. Elle a toujours été connue ainsi, rares sont ceux qui l'ont vu sans cette part de noirceur, lorsque le bien l'emporte l'espace d'une seconde sur son visage et ses traits. Elle aime sa part de ténèbres. Elle l'embrasse sans honte ni gêne. Après tout c'est ce qu'elle a toujours été. La part de noirceur de la douce Odette... Là où cette dernière n’est que gentillesse, tendresse, attention et douceur, Odile est méchanceté, manipulation, moquerie et froideur.
Elle est une jeune femme qui a beaucoup traversé et qui, au fil des années, s’est construit une carapace d’acier qu’elle ne laisse jamais s’abaisser. Pourquoi ? Tout simplement par peur de s’ouvrir à autrui. Même Odette, sa propre jumelle, ne sait pas tout du passé du cygne noir…
Odile a toujours été très distante, elle a installé depuis sa plus tendre enfance cette barrière entre elle et le reste du monde, une sorte de carapace visant à se protéger, rendre inaccessible ses sentiments, ce qui, à ses yeux, pourrait se révéler être une faiblesse. Elle reste malgré tout sociable, elle se plaît à rencontrer de nouvelles personnes, alliés ou non, amis ou l’inverse. Elle apprécie surtout faire de nouvelles découvertes, s’aventurer, sans prendre conscience des limites. Elle rejette ces dernières. Elle ne supporte en aucun cas qu’on lui donne des ordres, qu’on essaie de la couper dans son envol, qu’on chercher à la manipuler, à la contredire.
C’est une jeune femme têtue qui se braque facilement quand elle n’est pas d’humeur. La plupart du temps elle rétorquera avec son habituel sourire froid, ou en usant de sarcasme, mais si vous tombez sur l’un de ses mauvais jours, ou la poussez à bout, alors vous aurez l’occasion de découvrir un part encore plus dure du cygne noir… Ce que je vous déconseille.
Anya n’a pas pleuré depuis bien longtemps. Avec sa dernière larme est née sa promesse de ne plus jamais laisser transcrire ses émotions. Elle ne fait pas dans les sentiments, elle se les refuse. Elle ne semble pas tenir à grand monde, et pourtant, elle ne supporte pas qu’on touche à Odette, ni même qu’on ose s’en prendre à Balthazar…

Anya a un caractère complexe, elle est très mystérieuse et secrète, mais il n’empêche qu’elle pourra se lier d’amitié avec autrui, tenir à des gens sans réellement le montrer. Elle ne veut être blessée, du moins, pas plus qu'elle ne l'a déjà été. Si on la trahit, elle ne pourra le supporter. Elle laisse difficilement une seconde chance.
Même si, à son arrivée à Storybrooke, ses souvenirs étaient scellés, il n'empêche que son caractère n'a en rien été altéré. Elle ne s'est pas adoucie, pas plus ouverte, elle est restée celle qu'elle était. Puis les souvenirs et la magie sont revenus... Elle a changé, vis-à-vis de sa soeur et de son très cher prince. Méfiante comme jamais...

on ne change pas le passé
Il était une fois, dans un royaume éloigné du Pays Enchanté, vivait la famille royale Danistrov. Ce n’était pas la royauté la plus reconnue de la contée, mais pourtant ils étaient aimés de leur peuple qui comptait plus que tout sur leurs altesses. Le château brillait en haut d’une bute verdie par les prés, veillant sur la ville à ses pieds et ses habitants. A quelques lieux de là, se trouvait la forêt noire, aussi sombre de jour que de nuit elle n’inspirait que méfiance, rumeurs et peur. En son sein se trouvait une clairière et notamment un lac à l’eau si claire et pure qu’elle s’illuminait de mille feux les soirs de pleine lune. Très peu s’aventurait dans ces bois. La présence du manoir du sorcier noir, Balthazar, décourageait même les plus braves…
Balthazar, ce mage plus ancien que la contrée qui fit plus de mal que de bien. Il est sordide, froid, dur et sadique. Pourtant il n'a pas cherché souci au royaume, peut-être est-il lassé ? Ses nombreuses l'années ne l'ont pourtant pas adouci. Il suffit de l'importuner, de se trouver sur sa route ou de mettre un pied sur ses terres pour subir sa colère. Il n'y a pas plus radical pour disparaître du jour au lendemain sans laisser trace.

Le bien et le mal coopérait, sans poser souci l’un à l’autre, sans même se prêter attention. Il est préférable de ne pas regarder le mal en face pour penser que tout va pour le mieux. Mais même au royaume enchanté la vie n’a rien d’un conte de fée… Les difficultés financières frappèrent violemment le royaume. Le jeune roi, fraîchement couronné, ne pouvait accepter tel échec, avide du pouvoir que lui conférait sa place il alla donc à la rencontre du sorcier noir. Ce soir-là, il commit la pire erreur qu’il soit. Ce soir-là, il détruit deux vies, sans même le savoir… pour l’instant.
« Que viens-tu faire ici, roi de pacotille ? Ces terres sont ma propriété, sais-tu ce qui encours à déposer pied ici ? »
« Balthazar, j’ai besoin de toi, de ta magie, le royaume m’échappe, je ne peux l’accepter. On ne cesse de me conter l’ampleur de tes pouvoirs, je viens donc quémander ton aide. »
« Quel roi pathétique. Mais soit, je t’aiderais, contre le prix adéquat bien sûr, la magie ne se donne pas ainsi suite à une simple supplique d’une être aussi déplorable que tu l’es. »
« Mais, je viens de te dire que le royaume… »
« Cesse de jacasser, je n’ai que faire de ces pièces d’or qui ne cessent de faire baver la plèbe. Par contre, je sais que le ventre de ton épousée s’arrondit de jour en jour… Ce que je veux, l’une de tes deux enfants… »
« De-deux ?! Comment sais-tu ? »
« L’humanité est d’un ennui, je l’oubliais… Je le sais, tout simplement. Ton royaume sera de nouveau sur pied, au lieu de deux filles tu n’en auras qu’une unique, personne ne le saura. Qu’as-tu à perdre ? »
« Une fille… »
« Contre un royaume qui t'es déjà très cher… Je te laisse la journée pour y réfléchir, à la nuit tombée, si tu n’es pas présent ici-même pour me faire part de ta décision, alors je laisserais ton royaume t’échapper… »

Le roi retourna auprès de sa bien-aimée, lui fit part de sa discussion avec le mage noir, ils ne cessèrent d’argumenter, de parler, jusqu’à ce que le soleil décline à l’horizon, forgeant leur décision.
Comment élever deux enfants sans le sou ? Pourquoi refuser alors qu’ainsi ils allaient non seulement sauver le royaume, mais permettraient aussi la bonne éducation d’une de leur enfant. Ils ne voulaient s’avouer qu’ils étaient simplement trop avides de pouvoir, se voilant la face, refusant d’accepter qu’ils allaient effectuer un choix horrible, inhumain. Aveuglés, voilà ce qu’ils étaient.
Le roi alla donc à la rencontre du sorcier ténébreux, lui fit part de leur décision, un sourire malsain éclaira le visage du magicien… D’un claquement de doigt il arrangea la situation du roi et quelques mois plus tard, alors que les cris de la reine retentissaient dans les corridors du château, se mêlant à ceux de ses deux filles, il arpentait les halls, venant réclamer son dû.
Deux petites étaient lovées contre la poitrine pâle de leur mère, sous l’œil attendri du roi, l’un comme l’autre avaient oublié leur promesse, toujours aussi aveuglés par leur acte terrible. La peur blêmi leur visage lorsque Balthazar entra dans la pièce. Il se pencha sur les deux petites princesses, mais il savait déjà laquelle avait attisé son attention, celle avec la part de noirceur qui l’alléchait depuis si longtemps. Alors qu’il arracha la petite du cœur de sa mère, l’enfant se mit à crier à plein poumon, déclenchant les pleurs de sa jumelle et de sa mère, retenue par le roi. Ils avaient acceptés cela… La reine eut juste la force de prononcer ces quelques mots :
« Odile... Elle s’appelle Odile… »
Avant de serrer sa seconde fille contre son cœur pour se réconforter, le roi les serrant toutes deux, l’un comme l’autre refusant de regarder plus longtemps cette enfant qu’ils avaient vouée à vivre avec tel monstre…



Les années passèrent, jamais les parents d’Odette ne révélèrent à leur fille qu’elle avait une jumelle. Jamais ils n’en dirent mot à qui que ce soit. Eux-mêmes refusaient d’évoquer Odile, même lorsqu’ils n’étaient que tous les deux. Ils ne désiraient qu’une chose, oublier et avancer. C’est ce qu’ils firent, se consolant en voyant leur petite grandir sagement. Espérant qu’il en était de même pour leur enfant perdue…
Mais Odile ne connut jamais la même joie que sa jumelle. Elle fut élevée par la poigne dure et froide de Balthazar. Elle fut élevée en connaissance de cause. Elle voyait, du haut de la tour où le mage la retenait prisonnière, elle voyait ses parents l’oublier, sa jumelle s’extasier de sa vie parfaite, sourire, rire, être consolée, étouffée par les tendresses de ses proches, faire de nouvelles rencontres, des nouvelles amitiés... Elle regardait tout cela à l’écart, privée, sachant qu’elle aurait aussi pu y avoir droit. Mais tel ne fut pas son destin. Balthazar avait vu quelque chose en elle, sa folie n’avait pour simple but que d’exploiter l’enfant.
Les premières années, il ne lui accorda pas la moindre tendresse, très peu de regards, se contentant de pratiquer de nombreuses expériences sur cette petite. Sachant qu’ainsi, qu’en l’éduquant sans lui cacher la vérité, alors il ferait d’elle un monstre. Voilà ce qu’il désirait. Qu’elle haïsse ceux qui l’avaient trahit, abandonné, qu’elle soit aveuglée par la haine, déchirée et perdue. Plus elle fut en âge de comprendre, plus sa part de noirceur évoluait en elle. Odile le sentait, mais elle ne luttait pas. A quoi bon ? Après tout, Balthazar, même si elle le haïssait pour ce qu'il avait fait et ce qu'il lui faisait subir, était le seul à lui parler, à lui dire la vérité…
Plus les années passaient et plus elle tenait à lui, plus lui-même s’accrochait à cette enfant. Il ne la limitait plus à sa tour, elle ne luttait plus contre ses expériences, elle n’était plus effrayée par sa magie noire, il appréciait de déceler dans le regard de l’enfant une pointe d’excitation et surtout de curiosité… Ce fut lui qui surnomma la petite « Mon petit cygne… » Elle ne cessait de danser. Du haut de sa tour, elle voyait la vie de la cité royale, elle apprenait à distance, se débrouillant comme elle le pouvait. Mais la danse la passionnait, l’enivrait, elle se sentait pousser des ailes lorsque ses pas s’emballaient au rythme des mélodies qu’elle chantonnait.
Odile était vouée à être la perfection de Balthazar, et il lui fit un premier présent aux 6 ans de la petite princesse. Il lui offrit le pouvoir de se transformer en cygne. Un cygne magnifique au plumage ébène et aux iris rougeâtres. Ce n’est que sous cette forme que la petite quittait l’enceinte du manoir pour découvrir de plus près la vie de sa jumelle. Mais un cygne noir est loin de passé inaperçu… Odette s’éprit de ce qu’elle pensait un animal, s’extasiant de voir tous les jours ce magnifique volatile si particulier.
Les premiers temps, Odile était si emplie de haine qu’elle tenta à plusieurs reprises de tuer la petite princesse, la menant vers un lac trop profond, une falaise ou la clairière aux loups, mais sans parvenir à mener à bien ses desseins. Le temps s’écoula et étrangement, sous cette forme animale, le cygne noir s’attacha à la petite princesse. A sa soeur jumelle…



Chacune aurait pu poursuivre son existence de la sorte, et pourtant, le destin joua de nouveaux quelques tours aux petites princesses… La guerre des trolls s’abattit sur le royaume, déchirant la cité, tuant comme jamais, plongeant dans une crise bien pire qui mit au pied du mur le roi. Celui-ci eut beau repousser cette solution, il finit par se tourner vers Balthazar et lui demanda de nouveau son aide, redoutant le prix qu’allait lui demander le mage noir…
« La guerre déchire notre cité, nous allons bientôt tout perdre… Je ne peux l’accepter. »
« Tu sais bien, misérable roi, que ma magie n’est en rien gratuite… »
« Je n’oublierais jamais qu’elle m’a coûté une fille… »
Le roi fixait Odile, elle était postée aux côtés du sorcier, dévisageant celui qui était son paternel. Il avait espéré qu’elle se jette dans ses bras, qu’il l’attrape et fuit avec elle dans ses bras. Mais le regard qu’elle lui accordait était vide, dénué de tout sentiment, elle semblait parfaitement se moquer du fait qu’elle rencontre pour la première fois son véritable père. Il en avait décidé ainsi non ? Il fut forcé de détourner de nouveau son regard, ne supportant pas plus de voir sa petite lui accorder un regard si dur et glacial.
« Que veux-tu cette fois ? »
« Ton autre fille. Odette. »
Le silence s’abattit, l’horreur s’empara du visage joufflu du roi, niant silencieusement de la tête, pensant que le mage lui faisait une boutade de très mauvais goût…
« Comment ?! Que dis-tu pauvre fou ?! N’as-tu pas eu assez de m’arracher l’une de mes enfants ? Que vas-tu faire de la seconde ? »
« Je ne te l’ai pas arraché, tu me l’as échangé contre mes services. Je sauve ton royaume, tu me livres ton enfant, mon petit cygne et ta petite princesse se retrouvent enfin après treize années de séparations. Qu’as-tu à redire dessus ? »
« Je ne te laisserais pas toucher à Odette… Je ne te laisserais pas détruire mon autre fille… »
« Il n’est pas celui qui m’a détruit. Tu l’as fait. »
Cracha Odile, son regard transperçant le roi qui fut immensément blessé par les mots de l’enfant. Il rebroussa chemin, Balthazar lui laissant jusqu’au prochain couché pour prendre sa décision, retenant sa précieuse alors que celle-ci fulminait de haine et de colère suite aux nombreuses paroles blessantes de son paternel. Elles l’avaient été, à son oreille encore jeune, même s’il ne s’en était en aucun cas rendu compte.
Le lendemain, le roi ne vint pas. Cette fois, il refusa de sacrifier son enfant pour son royaume. Finissant de déchirer le cœur noirci du cygne noir qui pleura pour la dernière fois…



Deux années s’écoulèrent, le royaume résista tant bien que mal et pourtant il succomba à la dureté de la guerre. Celle-ci détruisit tout sur son passage. Le roi n’était plus, la reine était mourante. C’est alors que Balthazar, accompagné de son précieux cygne noir vint chercher son dû. La reine s’accrocha tant bien que mal à son enfant, regardant avec des yeux embués de larmes le cygne noir, sachant que derrière cette forme se cachait sa petite Odile.
« Je vous en prie, pas elle… Pas ma Odette… »
« Pauvre sotte, vous auriez dû accepter mon offre tant qu'il était encore temps. Je finis toujours par avoir ce que je désire. »
Sur ces paroles, accompagnées d’un sourire sadique et froid, il entraîna Odette à sa suite, capturant la petite princesse sans prêter la moindre attention à ses cris et pleurs alors que la reine rendait son dernier souffle.

Odette découvrit alors tous les secrets qui avaient bercé son enfance. Elle découvre sa sœur jumelle, elle se rend compte que ce cygne magnifique qu’elle adorait était en réalité cette précieuse sœur, elle en apprit beaucoup. Mais contrairement à Odile, elle n’appréciait en rien Balthazar. Il l’effrayait, elle se méfiait et ne cessait de parler de s’enfuir, avec Odile, d’échapper aux griffes de ce mage sordide. Odile ne comprenait pas ce comportement. Balthazar ne cessait de reprendre la petite princesse. Mais elle ne laissait jamais une occasion de tenter de fuir. C’est ainsi qu’il abattit sur la belle Odette une malédiction. Elle serait cygne blanc, retrouvant sa forme originelle une fois la lune au plus haut dans le ciel.

De nombreuses années s’écoulèrent, Odile crut que sa jumelle s’était faite à cette nouvelle vie. Les deux jumelles étaient bien plus proches même s’il arrivait à Odile de se moquer ou de taquiner sa sœur, Odette supportait, elle ne s’en plaignait jamais, elle aimait Odile, elle avait pitié pour sa jumelle qui avait passé tant d’années seule alors qu’elle n’avait pas manqué d’amis de son côté… Elles avaient cette toute nouvelle vie, mais Odile ne se serait jamais doutée que sa jumelle préparait quelque chose dans son dos…

Voilà quelques mois qu’une nouvelle famille royale avait pris possession des terres détruites de l’ancien royaume pour les remettre sur pied. Dans cette famille se trouvait le prince Siegfried, un jeune et beau prince qui cherchait désespérément le grand amour pour régner à la suite de son père que l’âge fatiguait. Le prince aimait plus que tout chasser et s’aventurer dans les forêts et autres lieux qu’il ne connaissait guère. C’est ainsi, qu’un soir, il se retrouva dans les bois non loin du manoir de Balthazar. C’est ainsi qu’il tomba sur le lac, découvrant, s’y baignant, une magnifique demoiselle. Odette… Celle-ci était alors sous sa forme humaine, elle s’éprit du prince et il revint plusieurs fois à sa rencontre. C’est ainsi qu’elle finit par lui conter la malédiction que Balthazar avait lancé sur elle.
Ensemble, ils prévoyaient de s’enfuir, de détruire Balthazar et Odile les surprit un soir, alors qu’elle cherchait sa jumelle. Elle resta dissimulée et vint à la rencontre de sa sœur une fois le prince disparut.
« Où étais-tu ? Tu sais bien que Balthazar désire nous voir danser. Que faisais-tu ? »
« Rien du tout, Odile, excuse-moi, j’étais dans mes rêves… »
« … Depuis quand me mens-tu Odette ? » Les jumelles se fixèrent un instant, l’une le regard si clair et surpris, l’autre le regard dur, froid et fermé : « Je sais que tu vois ce prince depuis quelques temps… Quand comptais-tu me le dire ? »
Odette sembla gênée, se confondit en excuses, puis elle finit par tout conter à sa sœur, son amour pour le prince, leurs désirs de finir leur vie ensemble, ce baiser qui pourrait la délivrer de la malédiction, leurs désirs de détruire Balthazar et de la sauver, elle. Odile ne dit mot. Odette voulait détruire Balthazar. Elle disait vouloir la sauver. Mais elle menaçait de tuer le seul qui l’avait aidé à ce jour. Elle ne pouvait s’y résoudre.
« Je ne veux pas quitter Balthazar. »
« Mais, il est le mal Odile, regarde ce qu’il a fait de toi ! »
« Il n’a rien fait. Ce sont tes parents qui ont fait cela de moi. »
Odette baissa la tête, serrant fort sa soeur, n'arrivant pas à réaliser que ses parents qui avaient été si doux et aimant à son égard aient pu faire preuve de tant de dureté à l'égard de sa jumelle.

Odile ne dit rien à Balthazar, se contentant de surveiller sa soeur de loin. Mais le mage était puissant, il ne se fit pas tromper si facilement, sentant que quelque chose planait, quelque chose de menaçant, il ne tarda pas à user de sa force de persuasion pour faire parler son précieux cygne. Odile n’eut choix que de parler. C’est alors que Balthazar fut pris d’un rire dénué de toute raison, se moquant de l’amour puéril de ce prince et de cette petite princesse.  Il emprisonna Odette, se moquant d’elle et sa niaiserie :
« Que crois-tu petite princesse ? Qu’il t’aime ? Il ne saurait te différencier de ta chère sœur… »
Il envoya alors Odile tromper le prince, un soir de bal, alors qu’Odette avait été invitée par le prince. Il menaça son précieux cygne qui ne voulait briser le coeur de sa soeur, lui indiquant que si elle ne lui obéissait pas alors ce serait Odette qui subirait sa colère. Odile se résigna alors détournant son regard de celui de sa jumelle. Allant à l'encontre du prince. Ce-dernier se fit avoir par ce sosie parfait de sa tendre et douce. Odile feignit de s’amuser, trompa le prince à la perfection, sachant qu’Odette les voyait grâce aux pouvoirs du mage. Mais au fond, elle était blessée. Par sa sœur. Le prince ne savait rien de sa jumelle. Odette n’avait jamais évoqué Odile.
Odile revint avant l’aube, Odette pleurait :
« Pourquoi as-tu fait ça Odile ? N’es-tu pas ma sœur ? »
« Pourquoi as-tu fait ça toi, Odette ? Si je suis ta sœur, pourquoi ton tendre amour ne sait rien de moi ? »
Elle regarda froidement sa sœur et se retira, refusant d’en entendre plus de celle en qui elle avait accepté de placer sa confiance et qui n’avait fait que la blesser un peu plus… Quelques heures plus tard, la malédiction de la Reine Noire s’abattait sur le royaume…



Storybrooke, cette petite ville située dans le Maine qui ne semble pas attirer grand visiteur. C’est une ville bien mystérieuse, après tout, tous les personnages des contes et autres histoires contées y vivent. Mais leurs souvenirs sont scellés, sous la possession du Maire, Regina Mills…
Dans un appartement de cette petite ville vivent deux sœurs jumelles. Anya et Lydia. Elles se ressemblent comme deux gouttes d’eaux, et pourtant, on n’a jamais vu aussi parfait opposés. Vous l’aurez deviné, nos deux cygnes, le noir, comme le blanc, vivent ensemble, tenant terriblement l’une à l’autre.
Elles n’avaient aucuns souvenirs de leur vie antérieure. Se contentant de vivre ensemble. Et pourtant leur passé influait toujours autant. Anya travaillait en tant que danseuse pour Balthazar, qui n’avait pas plus de morale ici qu’au Royaume Enchanté. Lydia, pour sa part, vivait le parfait amour avec Siegfried. L’une comme l’autre haïssant le partenaire de la seconde, source de conflit : Qui suivrait qui ? Qui quitterait qui ? Qui laisserait tomber l’autre ?
Puis les souvenirs revinrent… Cela faillit déchirer les deux sœurs. Anya se remémorait la dernière trahison de sa sœur, Lydia le fait qu’Anya préférait choisir Balthazar. Mais elles s’accrochèrent l’une à l’autre. Après tout, elles sont sœurs jumelles… Malgré tout ce qu’elles se sont fait subir, l’une l’autre, elles s’aiment. Mais cela n’allait pas durer contrairement à ce qu’elles pensaient…
Une nouvelle malédiction permit aux habitants de Storybrooke de retourner au Pays Enchanté. Beaucoup s’en extasiaient, Anya s’en moquait plutôt… Et bientôt elle allait grandement regretter ce retour…
Odile se décida à laisser filer Odette avec son prince, la laissant vaquer à sa vie, n’ayant en rien changé d’avis concernant le mage noir qu’elle respectait plus que tout et qui lui avait tout appris. Il était son maître, son modèle, son amant, son précieux ami. Elle lui devait beaucoup sans pour autant oublier ce qu’il lui avait autrefois fait subir. Mais il avait toujours été là pour elle. Alors qu’elle pensait qu’elle et sa sœur prendrait un chemin différent, prête à tenir tête à Balthazar pour qu’il laisse filer le cygne blanc, le manoir fut attaqué…
Elle se réveilla dans des appartements magnifiques, dans un château apparemment. A ses côtés, Odette, sa jumelle qui lui caressait tendrement les cheveux.
« Tout va bien ma sœur, tu n’as plus rien à craindre désormais, je suis là. »
« Odette ? Mais que s’est-il passé ? Où est-il ? »
« Tu n’as plus à penser à lui, il ne fera plus jamais de mal désormais. »
Le cygne noir ne parvint à prononcer le moindre mot, fixant sa sœur sans comprendre. Ou plutôt… n’arrivant pas à se rendre à l’évidence de ce que sous-entendait sa jumelle. Celle-ci reprit alors :
« Tu sais bien qu’il ne se serait pas contenté de cela ? Qu’il aurait de nouveau fait du mal ? A autrui tout comme à toi ! Je ne pouvais pas laisser faire, Siegfried non plus ! »
Mais Odile n’écoutait plus, elle tenta de fuir en vain, elle ne supportait pas ce qu’elle apprenait. Elle en voulait au monde entier, même à cette sœur qu’elle aimait, même si elle savait qu’elle avait voulu bien faire, elle lui avait ainsi arraché le cœur…

Odile ne prononça mot, s’isolant, elle refusait de se nourrir, de voir qui que ce soit, tout la répugnait et la m’était dans une humeur noire. Puis une nouvelle malédiction… Retour à Storybrooke.
Anya prit ce retour dans la cité comme un nouveau départ et profita de la cohue de ce retour pour échapper au radar de sa sœur. Vivre sa vie, essayer de se remettre sur pied. Mais ce qu’elle ne sait pas encore, c’est que Baltazar n’est pas décédé… Qu’il est bel et bien en vie. Qu’il cherche son parfait petit cygne noir et sa vengeance…


derrière l'écran
Youyou vous ! Alors moi c'est Lou(laLou), (Reine) Licorne (arc-en-ciel aux patounes poilues roses et à la corne pailletée), Monkey, la Folle. J'ai 23 ans physiquement et 5 ans et demi mentalement ! Actuellement je vis en France, mais à partir de septembre ce ne sera plus le cas vu que je serais au Canada~~ Je suis étudiante et j'ai actuellement mal à la gorge. Oui je passe du coq à l'âne et alors ? Oui vous vous en moquez aussi... Reprenons voyons !
Je suis une gaga des forums de RPG depuis... longtemps. Très longtemps... Je n'arrive pas à m'en passer @.@ Ma cervelle est vilaine parce que j'ai toujours mille et une idées de personnages qui tiraillent mon p'tit crâne et donc je m'en sors jamais...
J'aime les licornes (ah bon ?), les framboises, le vernis, conduire, la musique, l'écriture, la lecture, geeker encore et encore et encore, la Japan Expo, les films & séries & animés & Disney, écrire à la machine à écrire, le chocolat au lait, Dark Vador, LOTR, SW, les comics, Marvel & DC, Baymax, la couture, mes peluches. J'aime pas les prises de têtes, les gens lourds, l'ananas, mon mal de gorge, mon ongle de pied droit, les nombrils, quand mon ordi bug, les cours, les maths, faire le ménage, les coupures de courant.
Je suis arrivée ici... comment déjà ? Un partenariat je pense... J'ai pas beaucoup de forum sur l'univers OUAT et vu que j'en cherchais un pour jouer un peu, bin je suis tombée sur vous et j'ai tenté ma chance !


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Dernière édition par Anya O. Danistrov le Jeu 9 Juil - 19:05, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyMar 7 Juil - 22:11




Welcom

OUAT RPG


Bonjour a toi ,

je te souhaite officiellement la bienvenue parmi nous . Pour être un membre officiel de OUAT RPG il faut maintenant que tu termine ta présentation. Tu dispose d'une semaine pour terminer ta présentation. Si ton personnage est un personnage de OUAT reste fidèle a son histoire , si tu as décider de créer un personnage si tu veux qu'il soit un personnage de conte tu dois prendre un compte qui ne se retrouve pas dans la série, tu peu aussi être simplement un citoyen de Storybrooke.

Pour signalé que votre présentation est terminer il faut le faire juste ici

Si tu as la moindres questions tes deux fondatrices sont la pour toi.
Vos Fondatrices Elsa Frozen et Régina Mills
love.disaster
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyMer 8 Juil - 17:40

Bienvenue à toi !
Bon courage pour ta fiche ! ♥
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Anya O. Danistrov
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyMer 8 Juil - 19:08

Merci à vous deux ;3
J'ai un peu commencé je continue demain si j'ai le temps !
Pressée de RP avec vous !
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Regina Mills
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyMer 8 Juil - 19:58

Tout autant que nous , Very Happy Tu as fait un très bon choix de perso et j'ai hâte de voir ce que sa donnera avec mes girls (je suis Regina , Cristaline , Malefique et Christy)
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyMer 8 Juil - 20:09

hey bienvenue!!!!


oh oui Ondile!!! c'est la princesse des cygnes si je me souviens bien? j'adorais ce films plus jeune, tu me garde un bon petit lien avec mes personnages (Elsa - Ondine - Belle & Melody)
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Anya O. Danistrov
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyJeu 9 Juil - 5:46

Merci merci *o*

Je vous réserve des liens avec grand plaisir ;3
Ouii c'est bien issus de la Princesse des cygnes / lac des cygnes que j'ai un peu remanié ^^ Odette est le cygne blanc, Odile est son sosie noir !
Je poste rapidement un début d'histoire en espérant que ça plaise ;3
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Cristaline Winter
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyJeu 9 Juil - 11:08

c'est prometteur comme présentation
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Cristaline Winter
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyJeu 9 Juil - 21:58




OUAT RPG. Validation

Anya O. Danistrov


Bonjour cher membre,
J’ai l’honneur de vous avisé que votre présentation est maintenant validé, mais il vous reste encore quelque choses à faire pour bien vous intégré ici.

Premièrement, si vous ne voulez pas dormir dans les rues de cette ville venez demander un logement ici.

Deuxièmement, si vous voulez des relations ici c’est par ici

Troisièmement, si vous voulez discuter avec les gens il vous faut une fiche ici.

Quatrièmement, pour mieux connaitre le staf c’est ici pour postulé pour les postes disponibles dans le staff, trois place de modo son disponible,envoyer moi un mp

Cinquièmement, Si vous voulez connaître les intrigues du forum c’est par ici , Si vous êtes arriver a Storybrooke après le début de la nouvelle intrigue vous pouvez m'envoyer un mp avec le formulaire d'inscription si vous voulez y participé

Et pour finir bienvenue dans le groupe Enchanted

Votre Fondatrice Cristaline Winter
love.disaster
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyJeu 9 Juil - 22:33

c'est une superbe idée!!!!
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Anya O. Danistrov
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. EmptyVen 10 Juil - 1:18

*o* Merci beaucoup ~~
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MessageSujet: Re: Anya O. D. - I was his perfection.   Anya O. D. - I was his perfection. Empty

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